Alors, sans cri,
Quand, le désir s'incline,
Dans l'incompréhension,
D'une part,
Comme une ombre,
Sans gêne,
Départ, s'effrite,
en un mélange à bile,
En cette étrange idylle,
D'autre part en cadences,
Brisée, gercée,
Comme une lèvre offerte,
En froid
sous la panure,
Qu'une bougie vacille,
Et tangent d'un côté,
Sur larmes,
nos rasoirs,
Un oubli à dessin,
De ne pas oublier,
Efforts,
sur le ménage,
De joie sur repassage,
Gagné sur l'un
perdu dans l'autre,
Un lac inachevé,
Ces désirs inouïs lorsque
Les autres tranchent,
Élan inclinéré,
Une peau assombrie,
Au vide,
Je cours à pertes,
Et mon sifflet s'affole
Glace mon crépitant
Au bâillon élancé,
Le verglas sur le mur,
Et le foyer sans fin,
Un feu inextinguible,
Contre un gel inconstant,
Rêve est de te briser
Rêve de te bercer,
Dans le nom qu'un enfant,
Pourrait nous rassembler.