Groupements

A l'indienne ces files, épicées de survie,

Quand s'amortit la courbe, un réseau perturbé,

Dans nos saturations, ces phrases qui cachaient,

Leurs doubles versatiles, déguisés de folie,

En poche un parchemin, d'allures mémorielles,

Une échancrure offerte aux abîmes de cire,

D'un temps somme assoupie aux strates de désirs,

Reclus à des travers, espaces factuels,

J'ai posté une enclume, comme plume le vent,

Un jadis assouvi, mémorisé en cœurs,

Au creux de ces attendres, particules intérieures,

J'entendais la sonnette, un cri rapatriement,

Aux coussins de rigueur, j'adjoignais une hélice,

J'ai volé dans ma tête, souvent vers l'inférieur,

Là où le haut me blesse, d'esquisser ces erreurs,

Profondeurs communes,  ces peurs qui nous tissent,

A l'anglaise, ces files, où le monde se pose,

Tissent tranquillement, une firme fidèle,

Une année d'attentions, entreprise en modèle

D'équations politiques, chimique, je m'appose,

En files sensitives, au sein de ces regards,

Blanches ou noires ces villes, grisées de ces espoirs,

Soumises ad libitum, aux lies conjecturées,

Je volais d'un transept, poétique assurée,

Je renverse ma ville et déverse mes vœux,

Supérieure extension, l'esprit est empereur,

Groupements grégairiens, hommage aux gouverneurs,

Qui transpercent l'inerte, mots qui nous rendent heureux.