J'ai réfléchi dans ton jardin
La lune d'ambres en lavandin
Odeur tacite et sans nuage
Fumée sylvestre troubadour,
Curieux langage, paysage,
Au sons célestes, vol amour,
L'éclair agit sur grands écarts,
Je rapprochais mes doigts boudoirs,
Pour perturber de feuillets danses
Un strapontin de descendances,
Sous la décade un fil uni,
Sur la pommette, l'eau du lit
Espoir tu rives en abondances
Sur la palette du destin,
J'ai dessiné l'air aux embruns,
Matins torpeurs, signaux de chances,
Je fleurirai sous cet écrit
Indivisible nostalgie
Le pont divise l'acrostiche
D'une idée neuve, blanche de riche
A quatre feuilles rebondir
Et décider dans l'intervalle
La ligne raide, l'autre faille
Qui comblerait de tes jouvences,
L'éclat tordu, tendre d'enfances
L'aile est acquise sous ma plume
Peau chevelue sous la lacune
Pleine de grâces, protubérances,
Aux développements sommaires,
Signer l'écaille et décourir,
Comme je découvrais ces lumières
Ronds de fierté, tu sais grandir.