Marquant la page aux brins d'ogives
Boulet flanchant sur tes pommettes
Incorrigibles, de conquêtes
Cette bravoure aux bras dérive
Entre marées, je m'approchais
Continuelle et versatile
Entreposée sous ces longs cils
Aux masculins, enluminés
Comme emmurés sous ces élans
Tendresses énormes et respirantes
Sous l'imposante, l'acclamante
Ardeur des rives sur l'enfant
Au crépuscule un majuscule
Etat seconde, délivrée
Pavés sur encres en amourées
Un tabouret sur tes reculs
Ces camescopes volatiles
Papillonnant de verte et d'eaux
Troubles d'étés à brûle mot
Douceurs monstrueuses et grâces
Subtilités de ces regards
Tournés en ancres, j'amarrais
Tes rameaux d'air et de bontés
Tranquilles je verse un anneau phare
Sur tes comètes et dans nos jeux,
Tes joues creusées bombes d'ivresses
Feuilles fluides tes sagesses
Par gouttes, je tourne en pannes d'yeux
Panures en inspirations nerves
Doublée je traverse tes temps
Sur ces estrades, je défends
L'aveu du soupire, nos réserves.