De corvées accusatrices

J'ai dépensé une énergie

D'accusations j'ai récolté

Ces verves injustices et tournées

Du mauvais l'œil veillait la nuit,

Tu as détroussé mes chaussures

Pliant palier et d'injurieux

Tonnerres, je grondais à tes vœux,

Nos jeux tranquilles sans cutures

L'usure est pas, velours comptant,

Ces pâquerettes pour vos moutons,

Poussières étranges, élan scansion

Dubitatif, mage innocent

Chemins, je prenais tes tangentes

Un ciel, mes traines, et j'entrainais 

Aux passants ces espoirs, corvées

Accuses, je couds sous jacente

La Veine et d'un sang, sur un tour, 

Ces majestés conservatrices

Embarcations accusatrices

Le globe est tourné sur tes jours

Tes yeux paupières volent en fumées

Fermés d'une ombre ouverte vie

Nuit d'insouciants, porte du lit

Je t'ouvre en unissons, perlés

Nacres rampantes à cris couverts

Orées de fins, laves d'atouts

Larmes ménages à ventres doux

Dans l'évacuation, s'hivert

La pie s'anime, dessins des nus

Lavages en secs et en feutrés

D'attendre moite dépassées

Ces dédicaces sur ma rue

Venue offerte à ces promesses

Ces contre dire intentionnels

Manquer de cibles, universelles

Sèves dans l'ire, cachent tendresses.