Un son, en cloches la courbe émue
S'en neutralise, sang désaveu,
Sans cette emprise, sens de jeux
Ces interdits, pactes des rues
Dans ces cruelles, crue qui fourmille
De s'en monter, l'ondée se noie,
D'espoirs en joues, j'ose et pourvoie
Ton sémillant sur mes brindilles
Se flamme, j'ai dansé ta nuit verte
Larmes d'idée, j'ai l'incertain
Dans tes sandales, pommes demain
C'est ce pépin qui bat l'alerte
Un fruit tes jeux, splendide hiver
Dans l'infernale, l'usurpation
Ces volontaires apparitions
J'ai l'ombre noble, quand nos vers
Croisent en obstacles, incessamment,
Tes doux sécables, vides sous yeux
De poches alternes, haltes d'aveu
Cueillant la pause, intensément,
Sur un feuillage vole un fil,
Liquidités robustes et claires
Tons d'apparat sur ces mystères
Foison tu crées sens aux coquilles
Fente, j'éclos entre tes pieds
Rondeau de vie ou dramaturge
Pilules bleutées, je transfuge
Tes armoiries sur nos bontés
D'ivresse ont cognées nos cigognes,
Pour un contrastes en rires à mer
Vagues d'aimer, cœurs en hier
Demain, nos bouches sont à nos cognes.