Pour accorder ces arches, un violon pour ma plume
Soupire glissé du marbre, majestés, costumière
J'habille tes faïences, guerrier feuilles d'éther
Au sein, je t'arc boute, un élan sous mes brumes
Katana majuscule, crépuscule est levant
Du voile pathétique, une âme est en couvrances
Pour aiguiser ton pas, s'ajuste à contre danses
Pour éclat tes humeurs, je coule à prendre vent
Perdu le sang m'emporte en tes félicités
Pour cueillir en transferts l'armure est en tes dos
Ces métaux de désordre, alignés sur mes mots
Charme est diable, je roule à pleuvoir de t'aimer
En lèvres tes parures, nues de mes artifices,
Pour habiter l'exode un peu plus loin j'approche
Cathédrale d'un ciel, enseveli j'érode
Tes cambrures en mes veines, mes artères aux délices
Suppressions, j'ajoutais pour ultime avant bouche
Un gouffre est mes soleil marqué sur ta péniche
Et masquant tes emblèmes en tes doigts je te triche
L'amour est acrobate, tu jongles pour mes contres.