Une cour un pêcher, ce parfum enfantin
Pour croquer tes vertus j'examine tes sangs,
Au collier tes reflets, rousseurs immaculées
Roseau je fends tes tiges en rosées, nos mutins
La matinale affleure, un pétale se penche,
Pour cueillir tes espaces, un souffle permuté,
Sur une mer idoine, indolente pensée
Je perce tes solstices pour abreuver mes rangs
Ma peau est la caresse qui s'écoulait vers toi,
Gracile est le pourtour, une fête indécente,
J'examine nos plaies, nos arômes en tourmente
Clémente est la coursive, jalousie, en combats
Cet aloi d'envergure, un spasme combiné,
Par fenêtres se tend un orage harmonieux,
Sur mer ce grand florin, sonnant, gestes radieux
Je touche ces promesses, écarts confortés
L'oreiller est profond quand la vie m'approchant,
Un rocher, je t'effrite, par phrases sensitives
Jours de fêtes, solfège, partitions, pour dérives
L'embrun de tout un sens, beautés d'être maman.