denier jour
enfantine
la lueur
effondrée
d'effrontément maligne
la cigale
en étés
verse un rire
alarmant
pour
attiser l'audace
de cire
écrire
mouvant
en dessins
prendre places
et face
pousser ses ailes
pour avances
sac en poches
en cloches
ces demoiselles
une aile
d'autre enfance
cahier lyre
carnet coeurs
un porte
pour un calin sans nom
dernier jour
demeurons
optimisés, lurons
précieux
sont tes fenêtres
un premier pour
tout rime
en délire
tes sagesses
pages liesses
tout plaisir.