Quand main tenant de lassitudes
Dépassements à cieux couverts
Pour exiler, l'œil réverbère
Berger tacite, de solitudes
Berbères blancs sous ces talons
Pas calibrés pour tenir sel
En sables, lests, l'étincelle
Filait le temps, las en saisons
Automne perdait sa feuille et
l'hiver impatiences volatiles
Qu'en maintenait d'astres l'abime
Soleils pour créer ces contrastes
Désastres filaments huileux
Ces latitudes dépassées
Pour respirer, de libertés
Contraindre n'est que sangs fumeux
Qu'en main tenant ces changements
Promis non demandés s'expansent
Sans débuts résultats compense
L'abime en espoirs d'êtres enfants
Mes lassitudes déposées
Dépassées d'une main tendue
Toujours ton coeur m'est revenu
M'en reviendra, j'ose espérer.