Partir sang relever ces relents de plaisir
Pâlir sans mériter ces affres de frémir
Un désir médecin quand ces âmes s'inondent
Découper s'écouter sans vêtir à ces rondes
Passions je créer le temps de soustraire un envers
Pour décors exiler, une juste faveur
Mesurée la question s'en tamponne d'honneur
Méditations brutales pour stylet, mes hivers
L'Apanage du givre que connait la moisson
Quand les cloches s'emplissent, l'écho de mes enfances
Sur mon âme perchée, en arbres effervescences
Pavillon de cent lieues, bougies de tes actions
Rentrer sur ces endroits comme dessin de mouton
Un panier floraison pour contraire à l'idée
Soumettre d'autonomes l'inconstance d'armer
Ce bras pour me servir, seulement d'effusion
Dans ces eaux qui dormaient éveillées sur ma peau
Le clapotis fumant de l'étoile, ton substrat
Je nourris tes espaces, d'ablutions, opéras
De larmes rizières, ces rideaux de nos mots
Formés pour délivrer obéir d'une absence
Croisant la liberté aux hybrides sévères
D'enseigner la constance dans le doute éphémère
Toujours la salvation de tes gestes, résistances.