Stress chroniques

Dans un élan second, chronicités de règne,

Quand l'obscure confond l'allégeance et la soie,

La révérence est double et le grain bat de soi,

Pour se contracturer, l'exigence me saigne,

Tournant végétatif ou proximité neuve,

Dans ces intimités, mal séance anoblie,

De leur esprit poussif, clarté ensevelie,

Féline convulsive dans mes pas qui s'abreuvent,

Seule, je restais aux places, j'allais de matière morte,

J'aurai été vidée si le sens n'entrait pas,

En vie, dans ces litières, tourbe aux plaines fracas,

Si l'entracte n'était, la raison à mes portes,

Le plat se fit présence, et l'ombre se vit belle,

Quand tes danses assombrirent la grisaille d'ici,

Hauteur flânant virile et fils, alanguis,

Se tissèrent à mon doigt, que le tien me révèle,

Je suis une chronique, un stress ambulatoire,

Qui bien canalisé, persévère en l'espoir,

Dans mes tribulations, compulsions méritantes

J'excrète mes toxiques, éventaille mes fentes.