Printemps :
-J'ai ta feuille à noyer aux rives imperméables
Le balcon s'est enfuit
Sous les jets de moisson.
Je lui ai répondu ses branchages
Persistance
Il m'a sourit aux doigts
L'anneau s'est divisé.
Été, un autre tour :
-Je suis entré tristesse
Le rire a défendu mes avants
Amants d'arrière
Sa bouche
La garde est assonances
Le raisin luit aux cœurs
Tu palpites.
Je n'ai pu lui répondre
Que d'un chant
Miroir d'âme dans l'eau
Automne, ne vola plus :
-J'ai plié la mouche
Rompue de souvenirs
Un bourgeon inversé
L'orange,
Jus délicats
Se pourlécher les yeux.
Quelqu'un aurait pondu
Au ciel
La divergence des tons
Couleurs absurdes
Ravissements.
L'hiver en pénultième a saisi ses parures :
- Blanc pour cuire
Ces flocons souvenirs
Rires qui s'écarquilles
Fraîcheurs acidulées
J'ai piqué mes orteils
pour sertir vos raisons
Autre dissolution
en réponse à ses ondes
Saisons impénétrables
Le chemin suit l'aurore
Courbures émotionnelles.
Cela aurait naquit
Simple, trop en vrais
Mots pour assurer l'air
L'autre rive alanguie
Message intemporel
Saisonnier
Cachottière
Le sucre est aux tiroirs
Cannelle
Le ciel en bouches
Feu glace
Fleur doux
J'ai l'image
Assurances
D'un quart supplémentaire
Épicentre
Port du prestige
Aux moustaches
Poème cœur bat
Des ans
fils augural
Parallèles de vie
Voyages spatial à temps
Les trains planent
A choisir
Il goutte, le rêve.