A commencer la fin me nargue
Indélébile et luxuriante
Dans ces campagnes élégantes
La tâche abrupte du baiser
S'étire aux jours expertisés
Dans la synthèse, je me barque
Éternisée dans nos étés
J'improvisais en canopées
Sentir indemne un sentiment
Sentier de cocasse et d'esprits
Vagabondant à tire envies
La lune est pleine du soupire
Je lutte douce de frémir
La bulle étale ses idées
Le rêve amorce d'océans
Nos vagues phares, complicités
Atome sourde et souriant
L'étal offert, la soie peau neuve
Aux sources abonde, je t'abreuve
Un verre est vide aux pleins dansants
Un sel aimant l'opacité
Nuits alcalines en rayons tanguent
Sérénité d'ondes à t'apprendre
Le voile est clair dans tes sommets
Je grimpe un pan, descend la toile
Le rire étend ses gants d'espoir
Sur l'humanisme un écran noir
Cède ses traces aux grains d'amours
De ces candeurs, ports de velours
Le phare est naît sous tes prunelles
J'ai posé l'âme, pris tes appels
Pour rester d'eaux, te faire l'empire.