J'ai pris retards pour avancées
La marée signe un troupeau blanc
J'ai pris la neige du secret
Que tu déposais sur nos bancs
J'ai sentie claire l'aube ovaline,
Chemin d'équestres solitudes
Sur ces bavures, la certitude
Sauvage reine de tes lignes
Évanescences, j'ai prisé,
L'orage courbe de tes mots
Sur ces retards, wagons laissés
Au seuil, tu portais sur tes dos
La gravité montant au cœur,
L'espoir est laine de tes dons
Sur tes chalets d'incantation,
L'éclat silence d'un bonheur,
Trésor enfoui, blotti de caps,
J'ai structuré ces impatiences,
Et randonnant, tu tisses un sens,
Caché dans d'ombre de tes actes,
Un tract ouvert sur l'inconnu
Pour détourner, tu prends les trains,
Regards tactiles, retards en main,
Stratège douce de tes sues
J'ai pris couverts, pour dégager,
Illuminer à bon esciences,
Retards tactiques, tu t'avances
En lignées souples, surpasser.