Suprêmes

Dans la tente arriva

Un temps nouveau

Prisant

L'air d'un geai

Gardiennage

Une luciole aimée

Perdue dans tes campagnes

Où mes monts vallonnant

De si bel écrin

J'aime

Bleu rase

S'en fuit l'élecprisé

Etincelles défaillances

Un regard d'où se tombe

La flore épanouie

Devient ma majuscule

La nuit en pulsations

Abonde à ces reculs

De grâce

L'air est enfoui

Dans tes harpes

Nos gisants

Suprêmes

Obstinaison

Têtée haute

Port de fier

Quand d'électricités

Ajuste nos couchants

Bombant à mes repères

Ces rêves gouvernants

Ces matins oreillons

Sur tes pistes bruyères

Rouge

La vie délicate

Que vive amaryllis

Ces destins dont l'Euphrate

Souligne tes candeurs

Grandir

Laisser choisir

Dans l'inlouchable pleur

De lune

Lysée double

Eloge au papillon

*

Intouchée dans ces bruits

Tranquille

Je me souviens

D'un autre moi

En même

Aspérité de soie

Pour accomplir un vent

Sonore d'embarras

Altérités soyeuses

Un jus pour tout ces cycles

Contemplé

Je te donne.