Douleur est ce cancan fleuri
A L'arc est perdu, ton aura
Joie diluvienne, chaussant l'éclat
De de cris rires en dimanchés
Espiègle tangue, et facétieux,
Fierté filiale et majestés
Sous ces journées couffins striées
De ces lanternes, j'ai le feu
A l'œil j'allonge un trait soufflant
Bulles éclatées ou danses infuses
Fatigues jointes, je diffuse
Mes optimismes persistants
Bedaine au dos, rire impartial
Courir sauter trier étendre
Désespérer et réapprendre
A vivre l'autre, magistral
Musique ouverte sur tes esprits
Grandis de pleurs et de sourires
Arcs d'enfances, sentiers plaisirs,
Imitations, révoltes en lie
D'ivresse je plane un plancher nage
Délires matrices, bizarrerie
Fille étincelle, mère assagie
Sous ces câlins tape la page
Et verte et blanche et de panure
Blottie, au soir, rêve un empire
Sourire j'ai dansé, de souffrir
Mes vies, en nuits, villégiatures
Pour gouvernances ou d'oubliettes
Sentir ces souffles sommeillants
Par voix veiller, hypnotisant
Le doute, capture, vœu printanier
Dans tes lisières comme en pétale
Egraine un vent temps ébloui
Beautés criantes, enfants, mes vies
Formes, mes brumes, rêve cristal.