Un train entrait en danse quand la louve impatiences
Piétina, je te donne, une feuille pour voler
D'airs nouveaux je respire, sans atome accrocher
L'image est décuplée lorsqu'un trou d'évidences
A entamé les mondes, d'un vent l'autre semis
Produit d'un ancien sel, mieux, j'ai gouté l'écume
Pour mouvoir doucement, l'abri en solitudes
L'altitude d'un regard, croisant, lune avertie
Pour dégager l'idée en terres promesses meubles
Le sol incidemment a enterrer la clé
Laquelle ? Je rentre en Seine comme un chasse l'été
L'ombre est dans tes lumières, au repaire, tel un seul
Tour, le manège arrange, un alcool interdit
De ces stupéfactions, monocordes, je dicte
Un monsieur solennel, cérémonie vindicte
En douceur je liais, le chainon aboli
De ces foules silences, harranguer solitudes
Pour parcours cette plaine, abrupte de désirs
Monsieur passa en cloches, parfumer du soupire
Eclos, je nous découvre, nouvelles attitudes
Si la danse est complet, une glace chaleur
Délivre certains vents, sollicisme de vair
Nourri de ces espoirs, perdure, tendres d'hivers
Frisson, tu passes entier dans mon rêve, grandeur.