J'ai pris la douche de nacelle
La coccinelle était unie
En robes mauves j'ai fleuri
Sorti la corne et la dentelle
J'ai déposé la lune en grains
Un sillon noir pour la guider
La rive a montré la bonté
D'une ombre abrupte, j'ai pris train
La fumée blanche étant de mises
J'ai décidé d'un cornet tendre
Un coin de rondeurs à t'apprendre
Tes cheminées sur nos balises
Sourires en lunettes et en trompes
J'applaudissais, tu pensais rudes,
Ces airs inquiets, pour tout prélude
Un exercice fume à corrompre
Le personnage de stupeurs
Dans l'étourdissement solide
Dessinait d'encres volubiles
La clarté trempait tes humeurs
Aux aimants bleus, la vacuité
Pleine le doute prend racines
Pour terminer, l'arbre des cimes
Et descendant les marches ouvrées,
Plaine est la hantise et l'extase
La volupté contre ton galbe,
J'ai pris tes douceurs et tes marbres
Dans tes sillons, j'ai mis mes phrases
J'ai pris le carré, l'hypothèse
Pour perdurer, j'ai pris le vent,
Dans mes faveurs, je te prends
Pour flèche, l'ocre de ton siège.