Gargantuesque, j'ai tranché
La clé résidence était ivre
Lorsque j'ai sonné, reposé
Sous ces jardins, libres mes livres
On délivra, l'horloge interne,
Par alternances inoccupées
D'allures modestes et dévoyées
Déplorations, chambres alternes,
J'ai déployé, l'alcool est danse
En exercices hors de fonctions
Exponentielles dévotions
Mes ablutions pour ciel de chance
En lits j'ai posé mes seins nue
Mathématiques inassouvies
Comme filait pendant tes nuits
Ma musique happait sur tes vue
Ce feutre noirci de rimmelles
Plumette aidait au chalumeau
Coulant par lames ces doux mots
Larmes veillantes étincelles
Ces joyeusetés professeures
Mes bohémiennes sur tes contours
Ces gigantismes pour tambour
Laver de rimes en bonheurs
Ce Gargamel pour fuir avant,
Impressionnismes allophones
Scientifiques, ces madones
Profanités dans l'avenant
D'un avenir à ces passés
Décomposés sur tes matrices
Plume est poésie, salvatrice
Dans un ordre indéterminé
Par solvant ferme, un sommier mât
J'ai ces voiliers pour t'expanser
Duo en chocs à prospérer
Sur banc, l'humour est ton soldat
En évasions, col monté blanc
Nuit remarquable néant plein,
Rimes à rugir, cillant matins
Mutin le dé de nos dépens
Distanciations j'ai recouvert
D'un doigt la maitresse apprenante
Mes orages en verbes, battante
Ta pluie m'étreint, me désidère
De ces consonnes en voyelles arts
Parlementaire et mélodique
Mariage blond, d'élans tropiques
Tu m'interfères, l'oiseau est rare.